La biodiversité
plus que jamais sous pression

Un déclin rapide et massif de la biodiversité

Réduire vos pressions sur la biodiversité nécessite au préalable d’identifier vos activités les plus impactantes. Est-ce par le changement d’usage des terres, les pollutions, le changement climatique ou encore la surexploitation des ressources en eau ?

Mener l’évaluation d’empreinte biodiversité de votre organisation vous permet d’objectiver vos niveaux d’impacts et de les hiérarchiser par pression sur chaque maillon de votre chaîne de valeur : amont (achats, approvisionnements), opérations directes (vos sites de production et outils d’exploitation) et aval (fin de vie de vos produits et services).

Une approche qui éclaire au-delà des seuls enjeux climatiques, et vous prémunit des possibles effets défavorables sur la biodiversité induits par votre stratégie climat.

Les pressions majeures, toutes d’origine humaine

Selon l’IPBES, cinq grandes pressions, toutes liées aux activités humaines, expliquent la perte de biodiversité.

Pression n°1 : le changement d’usage des terres, des mers et des airs

Directement responsables de la perte ou la dégradation des habitats naturels, le changement d’usage des terres, des mers et des airs est la première cause de perte de biodiversité. Cette pression s’exerce au travers par exemple des parkings, des infrastructures industrielles ou touristiques, de l’urbanisation, des activités agricoles ou encore des énergies marines. Toutes les entreprises sont concernées et contribuent à cette pression, via leurs opérations directes ou au travers de leur chaîne de valeur.

Pression n°2 : la surexploitation des ressources

Surpêche, braconnage, surpâturage, surexploitation forestière, prélèvements excessifs en eau : ces pratiques entraînent une exploitation des ressources à un rythme supérieur à celui de leur renouvellement. La pression de surexploitation des ressources naturelles est une réalité pour de nombreuses activités économiques, à l’image du secteur agroalimentaire (agriculture, élevage) ou encore de la production industrielle (prélèvements d’eau).

Pression n°3 : le changement climatique

Le changement climatique se traduit notamment par des modifications de régimes de températures et de précipitations. Il se manifeste par une fréquence accrue d’épisodes tels que les sécheresses, les inondations ou autres événements extrêmes. Il modifie les habitats, les cycles de vie et les conditions de survie de nombreuses espèces. Les entreprises y contribuent à travers leurs émissions de gaz à effet de serre, qui peuvent être mesurées par un bilan carbone.

Pression n°4 : la pollution

Les pollutions de l’air, des sols, de l’eau douce et des océans (plastiques, intrants agricoles, métaux lourds…) mais également les pollutions lumineuses ou sonores, sont un facteur majeur de dégradation des écosystèmes. Elle constitue un enjeu important pour de nombreuses activités économiques à l’origine de ces pollutions et dont la pérennité repose sur la maîtrise de leurs émissions et rejets.

Pression n°5 : les espèces exotiques envahissantes

Le transport et le commerce international facilitent la diffusion d’espèces non indigènes qui perturbent les écosystèmes locaux. Les flux logistiques et les importations d’une entreprise peuvent ainsi contribuer involontairement à ce phénomène.

Les entreprises au cœur des enjeux

Toutes ces pressions sont directement liées aux modes de production et de consommation. Les entreprises, à travers leurs chaînes d’approvisionnement, leurs opérations et leurs produits, sont à la fois contributrices aux facteurs de pressions sur les écosystèmes et dépendantes de ressources et de services vitaux fournis par ces mêmes écosystèmes.

En contribuant à ces pressions sur la biodiversité, les entreprises s’exposent aux risques liés à la transition de nos sociétés vers une économie plus respectueuse de la nature : il s’agit des risques dits de transition.

Ces enjeux centraux structurent désormais les cadres réglementaires (CSRD, TNFD, SBTN, EUDR…) et conditionnent l’accès aux financements durables.
Identifier et comprendre vos contributions à ces pressions constitue ainsi la première étape pour :

  • hiérarchiser vos enjeux matériels,
  • évaluer vos impacts et dépendances,
  • bâtir une stratégie biodiversité crédible.

En tant qu’entreprise, agir n’est donc plus une option : c’est une nécessité pour répondre aux attentes réglementaires et sociétales, mais aussi pour sécuriser votre propre résilience.

Comment Blooming vous aide à réduire vos pressions sur la biodiversité

Face à ce constat, Blooming vous accompagne pour :

Prêt à réduire vos pressions sur la biodiversité ?

Avec Blooming, identifiez vos impacts, hiérarchisez vos enjeux et passez du constat à l’action concrète.